🇬🇵 Qu’est-ce que Saint-Barthélemy Tourisme Info ?
Un voyage à travers l’histoire de Saint-Barthélemy.
Le passé de cette île minuscule est étonnamment dense. Ses racines plongent dans l’Amérique pré-colombienne avec les Arawaks, puis les Caribes, avant que Christophe Colomb ne la découvre en 1493 et la baptise en l’honneur de son frère, Bartholomeo.
Un chapitre inattendu raconte qu’elle a basculé sous domination suédoise en 1784, avant de revenir à la France en 1878 via un référendum, un drôle de ping-pong colonial qui laisse encore ses empreintes architecturales dans le port de Gustavia.
Corossol, un village de pêcheurs tout simple, des doris (petits bateaux) en bois fabriqués à la main, des maisons colorées et un musée étonnant qui expose pas moins de 9 000 coquillages du monde entier.
Le village évoque aussi la langue normande, transmise par certains habitants.
L’esprit aventurier plane autour de Saint-Jean, des légendes de pirates auraient caché des trésors dans les grottes de la côte.
Et la plage des Flamands, certains disent qu’en pleine nuit sans lune, des ombres dansent silencieusement sur le rivage.
Un brin mystérieux, non ?
Dernière curiosité , autrefois, la Grande Saline, exploitée dès les années 1820, fournissait le précieux sel servant à conserver les aliments sur l’île,avant que frigos et électricité ne changent la donne.
Un petit clin d’œil à l’histoire pragmatique de Saint-Barth.
Chaque pierre, chaque crique, chaque maison de bois raconte un morceau de cette île qui n’a rien de minuscule quand on creuse un peu.
Saint-Barthélemy est une curiosité vivante, un petit laboratoire d’histoire inattendu coincé entre les vagues.
La suite du récit ?
Elle attend ceux qui lèvent un pan de voile sur les légendes oubliées ou observent les étoiles par-dessus les ruines coloniales.
( Saint-Barthélemy est une île à part, unique au monde.
Un territoire Français où l’emprise de l’argent semble vouloir s’imposer jusque dans les moindres recoins, jusqu’aux pages du web.
Ainsi, ses véritables trésors, sites touristiques discrets, lieux de mémoire, empreintes d’histoire, restent dans l’ombre, presque absents d’Internet, comme si la culture et l’âme de l’île devaient s’effacer devant l’éclat du luxe.)